Un drôle de dialogue s’engage entre un pianiste et un singe-marionnette : ces deux-là̀ se parlent, se chamaillent, lisent des poèmes et parlent de la vie. Mise à nu navigue entre récital intime au piano et dialogue existentiel avec un Grand Singe animé, peluche et cyborg, beau parleur. Considérations sur la vie, le visible et l’invisible, coups de gueules et cris du cœur se mêlent aux Préludes et Nocturnes, aux silences aussi...
Petit à petit, affleure la préoccupation première qui les anime : au fond, qu'est-ce que c'est la joie ? La naïveté loufoque et poétique des images lève un voile sur les questions abordées, les plus âpres et les plus profondes.